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mardi 29 avril 2014

Un pont pour la paix: 4 ateliers de jeux



En attendant le déroulement complet du jeu, et après les mots cachés de la paix dont j’ai déjà parlé le 7 avril (clic) , voilà 4 autres activités qui ont été proposées à la journée Bouge ta planète du Nord Jura.

1 Les Règles de la paix
Sur le modèle des règles de la maison de « la cabane à Eugène », il s’agissait de faire une affiche de « règles de la paix » 
Voilà les idées que les enfants ont trouvées :


2 Écrire le couplet d’une chanson
Vous connaissez le chant « Evenou Shalom aleirhem » ? 
2 groupes ont inventé les couplets suivants :

3 Écrire des acrostiches
Une affiche donnait des idées de mots avec lesquels inventer des acrostiches

 Voilà ceux qui ont été faits à partir d’Amitié et Pardon :


4 Calligraphier des mots de paix
Une belle affiche (merci Susana) donnait une liste du mot PAIX en plusieurs langues, et surtout toutes sortes d’écritures !  Il s’agissait de recopier ceux qu’on voulait.

( affiche réalisée à partir des calligraphie de Clara Halter trouvées sur le forum des gens ordinaires / clic

A vous de jouer !! 

jeudi 24 avril 2014

Shalom! (message codé)



Dans son évangile, Jean (au chapitre 20) raconte la résurrection de Jésus et les premiers temps qui ont suivi :
« C'était après la mort de Jésus, le soir du premier jour de la semaine. Les disciples avaient verrouillé les portes du lieu où ils étaient, car ils avaient peur des Juifs. Jésus vint, et il était là au milieu d'eux. Il leur dit :
 


Ouh lala, mais qu’est-ce qu’il dit ??
Utilise ce code, et tu trouveras !

Tu peux trouver la solution dans une bible (Jean 20,19) ou dans le livre « Parle, Seigneur », à la page 396.

Tu veux fabriquer d’autres messages codés, de toutes sortes ? 
Fais un tour sur le site la toile scoute (clic): c’est une mine !!


dimanche 20 avril 2014

Le Christ est ressuscité! Alléluia! Alléluia!!



Tombeau vide: c'est alors que l'autre disciple entra
 / Berna

Le Christ est ressuscité… Mesih dirildi… Kristus jevstal… Mshiho qom… Tsesa dolehisanahi... Христос Воскресе… Yésu apumbo… Krista dékina… Christus ist auferstanden... Kristu mubika... Piztu da Kristo... Eyesus ten-si-ou... Christus resurrectus est... Pikhistof aftonf... Christ is risen... Ukristu uvukile…..

Quelle que soit la langue dans laquelle on le dit, cette Bonne Nouvelle s’adresse à chacun d’entre vous, aujourd’hui !
Très belle et bonne journée à toutes et tous !

Tu veux entendre cette bonne nouvelle dans 250 langues du monde entier ? clique ici

Apparition: la paix soit avec vous 3 / Berna

Les images sont tirées du site “Évangile et Peinture”. (clic)
N’hésite pas à le consulter : il contient des merveilles.

jeudi 17 avril 2014

Le pain azyme, le pain des gens pressés!



illustration Letizia Galli, Ma 1° bible en images
Sais-tu d’où vient ce drôle de pain qu’on mange à la messe ??
Comme nous reprenons les gestes et paroles de Jésus le soir du Jeudi saint, nous utilisons comme lui du pain sans levain.
En effet, lors de ce dernier repas, Jésus fêtait avec ses amis la Pâque juive: cette fête commémore la libération des Hébreux, lorsqu’ils ont fui l’Égypte. Comme ils sont partis à la hâte, ils n’ont pas eu le temps de faire lever le pain, ils ont fait cuire des galettes sans levain, juste avec de la farine et de l’eau. On appelle ces galettes le pain azyme.
Pour la messe, ce sont souvent des religieux qui fabriquent avec les mêmes ingrédients de petites galettes rondes, très fines, qui ont l’avantage de se conserver longtemps. On les appelle les hosties.



Tu veux faire du pain azyme ? Rien de plus simple.
Il faut juste de la farine et de l’eau, un peu de sel. 




  1. Mets un bol de farine (250gr) dans un saladier. ( tu peux utiliser de la farine complète, ou en mélange)
  2. Ajoute 3 ou 4 pincées de sel
  3. Verse lentement de l’eau tout en malaxant sans t’arrêter, jusqu’à obtenir une boule de pâte molle et non collante. ( si elle colle trop, tu as mis trop d’eau, rajoute un peu de farine) Il faut environ 1 verre d’eau. (125ml)
  4. Tu peux mettre aussi un peu d’huile d’olive. (3 à 4 cuillerées à soupe)
  5. Coupe cette boule en 4 petites boules que tu pétris bien.
  6. Farine la table et étale chaque boule à la main pour lui donner une forme de galette ronde la plus fine possible. (plus elle est fine, et mieux elle cuit)
  7. Fais cuire cette galette à la poêle. (ou au four à 200°C. Pour la cuisson au four, pique la pâte pour qu’elle ne gonfle pas)


Lors d’une préparation de première communion, nous avions fait cuire les galettes sur une crêpière : c’est très facile, et très convivial ! Nous étions dans la sacristie, et les parents qui échangeaient dans l’église se sont demandé d’où venait cette bonne odeur !!!


Tu trouveras sur youtube une vidéo de 5 minutes (clic) qui explique tout très bien   
Tu trouves la recette complète détaillée en cliquant sur « plus »

mercredi 16 avril 2014

Saint Benoit Joseph Labre



Benoit Joseph est né dans le Pas de Calais en 1748. Il est l’ainé de 15 enfants !
Son père est exploitant agricole, sa mère tient l’épicerie du village.
Ils auraient aimé que leur fils ainé soit curé de campagne, aussi, Benoit étudia le latin et le grec ; il tenta d’entrer dans des monastères, mais il était trop jeune et de mauvaise santé. Et puis, il aimait trop la liberté !
C’est à 22 ans, en 1770, qu’il trouva sa vocation.
Il choisit d’être mendiant et pèlerin, de prier Dieu sur les routes. 

1000 images d’Église JFK


Il passa d’abord quelques mois à Rome, puis partit en pèlerinage vers l’Espagne, la Suisse, l’Allemagne …. Il vivait très simplement, ses habits tout abimés, son sac en bandoulière ; il dormait le long des chemins ou dans des granges, quand on voulait bien de lui ; il recevait parfois de la soupe, du pain … ou des injures ! Partageant la vie de plus exclus de son temps.
Il vécut ainsi quelques années, puis retourna à Rome, où il passait son temps dans les églises et dormait avec les pauvres dans les ruines du Colisée. Il donnait volontiers à plus pauvre que lui. Il était très aimé.
Il mourut le soir du mercredi saint 16 avril 1783, à 35 ans.

On le surnomme le « vagabond de Dieu ». Il est le saint patron des sans-domicile fixe, des pauvres et des exclus.
On le représente vêtu de haillons, un bâton à la main, un sac en bandoulière.

Pour en savoir plus: le site Nominis.(clic)