Je vous ai dit comment le
« temps fort inter générationnel » a bien fonctionné samedi après
midi (pour tout savoir, cliquer ici)
Pour la veillée de 21h, les
premiers arrivaient à 20h15, pour les derniers réglages de sono, l’installation
du feu dehors (il ne pleuvait pas !) les derniers essais de musique et de
projection, la préparation de l’autel.
Tout au long de la veillée,
chacun a tenu sa place, tout a pu s’enchainer dans une ambiance de prière, de
paix et de joie .
Bien sûr, il y a bien eu
quelques « couacs » : un lecteur qu’on cherche dans la nuit, la
chorale qui cherche ses partitions, une saute de courant qui empêche l’orgue de
jouer, le buis qu’on a oublié dans la sacristie pour l’aspersion, etc. Mais des
aspects vite réparés, qui n’ont pas brisé l’unité de la célébration.
21h :
l’assemblée se réunit dans la nuit, autour du feu. La flamme s’élève, au son du
« Feu nouveau », entonné
par les musiciens : une trompette et une flute sont venus renforcer
l’accordéon, la clarinette et les percussions de l’après midi.
On ne peut tout raconter ,
seulement quelques flashes, qui
marqueront les mémoires :
-
le calme de
l’assemblée entrant dans l’église sombre, qui s’éclaire petit à petit à la
lueur des cierges
-
l’émotion
devant la beauté des images du diaporama de la création, et la justesse des
extraits choisis du Psaume 103.
-
la surprise
devant le mime de la traversée de la mer rouge, Hébreux et Egyptiens adultes, à
la suite d’une « Moïse » de 8 ans
-
la force de la
longue litanie des saints intégrant aussi les saints patrons des enfants
-
l’écoute attentive du bruit de l’eau qui coule dans la vasque de baptême
-
la jubilation
du curé lors de l’aspersion
-
l’enthousiasme
communicatif des musiciens
-
…….
Il est 23h
quand notre curé, Jean Marie, nous donne la bénédiction solennelle.
A voir les visages rayonnants
à la sortie, on peut penser que peu de gens ont regretté ces 2 heures de
célébration.
Christ est ressuscité, Alléluia, Alléluia
Pour l’an prochain, certains ont lancé l’idée d’organiser
une nuit de prière pour le jeudi saint : chiche !
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